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  • Electro news : Bonjour Don Rimini, tout d’abord peux-tu nous dire comment tu as atterris dans le milieu de la musique électronique ?

Quand j’étais plus jeune, vers 14 ans, c’est d’abord mon frère qui m’a fait découvrir la musique électronique. Il sortait en Belgique, achetait des CD et des cassettes en Angleterre, et comme ça j’ai pu écouter de l’Acid, de la new beat, de la house et de la Techno.

  • EN: Avais tu un modèle ou une icône à cette époque ?

Pas du tout, j’ai vraiment écouté beaucoup de choses, alors je préfère plutôt parler de tracks qui m’ont marqué comme « Emerge » de Fischerspooner par exemple . Autant dans les sonorités, dans les synthétiseurs que dans le traitement de la voix, wahou quoi. Mais c’est un morceau parmis tant d’autres.

 

  • EN: As-tu commencé par mixer ou par produire ?

A mixer, composer c’est beaucoup plus compliqué et à l’époque c’était bien plus simple d’avoir deux platines vinyles chez un pote.

  • EN: Comment en es-tu venu à la production ? A partir de quel âge as-tu commencé à toucher aux ordis et aux softwares de production ?

Quelques années après, à ma rentrée au lycée, j’ai rencontré d’autres personnes qui kiffaient le son, qui faisaient de la musique chez eux et qui avaient des samplers. On s’est donc échangés nos disques, nos méthodes de travail, puis j’ai acheté mon premier sampler. J’avais envie de jouer mes propres disques, mes propres morceaux.

  • EN: Quel type de matériel utilisais tu à l’époque et qu’en est- il maintenant ?

J’ai commencé avec un Atari 520 ST et un sampler AKAI S950. Ce sampler était beaucoup utilisé par les producteurs de Hip Hop à l’époque, mais moi je l’utilisais pour faire de la Techno. Cette machine était limitée dans le sens ou la durée des samples était assez courte, alors il fallait se montrer créatif. Maintenant on a énormément de possibilités, et je compose donc avec Cubase, Ableton, et j’utilise des synthés virtuels.

  • EN: Comment t’y prends tu pour produire ?

Des fois j’ai une mélodie en tête, j’ai envie de créer une certaine atmosphère alors j’essaye de retranscrire ça, ou des fois j’essaye de travailler des rythmiques et j’ai des idées de synthés qui me viennent. Ce n’est jamais le même processus, ça dépend vraiment de ce que j’ai dans la tête à ce moment-là, de mon humeur.

  • EN: Parle nous un peu de ton live, comment t’es venue l’idée ? Comment fonctionne-t-il, tu joues avec une dalle tactile et Ableton c’est bien ça ?

Cette dalle tactile est le centre nerveux du live et c’est de là qu’il provient. J’avais l’envie de faire ce live depuis un moment, mais je ne savais pas vraiment comment m’y prendre. Je me voyais mal faire venir des artistes pour jouer sur mes musiques, car ça ne correspond pas à ma façon de produire. Puis j’ai découvert cette dalle et j’ai donc trouvé comment j’allais mener mon propre live. Elle me permet d’envoyer toutes mes séquences, de jouer avec des filtres, des equalizers, des effets et des voix. C’est juste un gros contrôleur, relié à un Ordi via Ableton.

  • EN: Et au niveau des sensations, t’es plutôt live ou DJ set ?

Ah, ce sont des choses complétement différentes, mais j’adore les deux. C’est juste génial de jouer devant un public. Sans vouloir être mégalo, jouer en live devant plusieurs milliers de personne te donne un certain pouvoir : si tu coupes la musique les gens vont crier, si tu lèves les bras les gens vont faire de même, t’es pas le maître du monde non plus mais c’est très plaisant. Jouer dans un club c’est une autre approche, effectivement t’es beaucoup plus proche du public et ça c’est plutôt cool. Les gens peuvent davantage voir ce que tu fais, moi j’ai mes petites phases techniques et j’apprécie voir la réaction des gens.

  • EN: Pourquoi Don Rimini ?

Je lisais le magazine « Actuel », ancêtre de « Nova mag », ils parlaient de rave party à Rimini, et j’ai trouvé ça cool. Après j’ai ajouté Don pour faire un peu parrain et c’était parti.

  • EN: Quel est pour toi LE titre qui t’a fait connaître ?

« Let Me Back Up », dans mon deuxième maxi.

 

  • EN: On ne trouve pas trop de clips de toi sur la toile, peut-être des projets à ce niveau-là ?

En effet, y’en a pas énormément,  highlight et fomo arrivent avec le prochain maxi. Mais les clips coutent cher et puis faire un clip pour faire un clip c’est pas tellement intéressant, faut surtout avoir une bonne idée.

 

  • EN : Qu’est ce qui te plait le plus dans la vie de DJ ?

Les rencontres, que ce soit avec le public, les orgas ou bien les gens en général.

  • EN: Comment choisis tu tes remixeurs, ou bien les remixes que tu as envie de faire ?

J’essaie de m’éloigner le plus possible de mon univers, afin d’avoir une relecture du morceau dans un style différent. J’essaie de voir le plus loin possible, que ce soit pour remixer quelqu’un ou pour me trouver des remixeurs.

  • EN : Parlons de Baadman, une rencontre et puis le grand amour ? Raconte-nous comment ça s’est passé.

On était à une soirée chez mon frère y’a 3 ans, il n’était pas du tout dans la musique, ne composait pas, et moi je mixais pour le fun à cette soirée. Il m’a dit : « voilà, c’est ça que je veux faire ». C’est quelqu’un qui est jeune et qui assimile très très vite la musique au niveau deejaying et compositions.

 

  • EN: Peut être des collaborations à venir ?

Des collab’ arrivent, je travaille sur des morceaux avec d’autres personnes. Des infos arrivent prochainement.

 

Interview réalisée par Ykwim et PC, un grand merci à Don Rimini pour avoir accepté cette interview et à l’équipe du Festival Panoramas pour leur super accueil.

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